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leblogdetoinon13
29 septembre 2012

LE JEU DE LYDIE J'EN SUIS

Pour le jeu deLADY MARIANNE, j'ai choisi le thème de l'Amitié et quelques extraits de livres

 PHRASE 1

 

…Non, ne pleure pas… Tiens, prends mon mouchoir, petite fille… Mais il y a une chose que je dois te dire : les gens qui s'arrêtent de parler deviennent fous. Chu Ta, par exemple, je ne te l'ai pas dit tout à l'heure, mais il est devenu fou et très malheureux aussi… Très, très malheureux et très, très fou. Il n'a retrouvé la paix que lorsqu'il était un vieillard. Tu ne vas pas attendre d'être une vieillarde, toi, n'est-ce pas ? Dis-moi que non. Tu es très douée, tu sais ? Tu es la plus douée de tous les élèves que j'aie jamais eus, mais ce n'est pas une raison, Camille... Ce n'est pas une raison… Le monde d'aujourd'hui n'est plus comme celui de Chu Ta et tu dois te remettre à parler. Tu es obligée, tu comprends ? Sinon, ils vont t'enfermer avec de vrais fous et personne ne verra jamais tous tes beaux dessins… "

Camille fait des ménages dans les bureaux le soir et dessine à ses heures. Féru d'histoire, Philibert est un aristocrate timide et émotif qui habite un immense appartement. Franck cuisinier de son état a une grand-mère qui ne peut plus vivre seule et qu'il doit se résoudre à placer dans une maison de retraite. Voici les quatre personnages principaux de l'histoire. Un peu éclopés, pas en très bon état, ils traînent des passés difficiles et des blessures ouvertes. Ils ont des rêves aussi. Des envies d'échappées belles. Ils vont se rencontrer, s'apprendre... et découvrir qu'ensemble, le bonheur est possible. Qu'il tient à peu de choses... qu'il tient surtout à... "être ensemble". Régine de Anna gavalda ENSEMBLE C'EST TOUT.

PHRASE 2

 Au demeurant, ce que nous appelons ordinairement amis et amitiés, ce ne sont qu'accointances et familiarités nouées par quelque occasion ou commodité, par le moyen de laquelle nos âmes s'entretiennent. En l'amitié de quoi je parle, elles se mêlent et confondent l'une en l'autre, d'un mélange si universel qu'elles effacent et ne retrouvent plus la couture qui les a jointes. Si on me presse de dire pourquoi je l'aimais, je sens que cela ne se peut exprimer, qu'en répondant : « Parce que c'était lui, parce que c'était moi. »
Il y a, au-delà de tout mon discours, et de ce que j'en puis dire particulièrement, ne sais quelle force inexplicable et fatale, médiatrice de cette union. Nous nous cherchions avant que de nous être vus, et par des rapports que nous oyions l'un de l'autre, qui faisaient en notre affection plus d'effort que ne porte la raison des rapports, je crois par quelque ordonnance du ciel ; nous nous embrassions par nos noms. Et à notre première rencontre, qui fut par hasard en une grande fête et compagnie de ville, nous nous trouvâmes si pris, si connus, si obligés entre nous, que rien dès lors ne nous fut si proche que l'un à l'autre. Il écrivit une satire latine excellente, qui est publiée, par laquelle il excuse et explique la précipitation de notre intelligence, si promptement parvenue à sa perfection. Ayant si peu à durer, et ayant si tard commencé, car nous étions tous deux hommes faits, et lui plus de quelques années, elle n'avait point à perdre de temps et à se régler au patron des amitiés molles et régulières, auxquelles il faut tant de précautions de longue et préalable conversation. Celle-ci n'a point d'autre idée que d'elle-même, et ne se peut rapporter qu'à soi. Ce n'est pas une spéciale considération, ni deux, ni trois, ni quatre, ni mille : c'est je ne sais quelle quintessence de tout ce mélange, qui ayant saisi toute ma volonté, l'amena se plonger et se perdre dans la sienne ; qui, ayant saisi toute sa volonté, l'amena se plonger et se perdre en la mienne, d'une faim, d'une concurrence pareille. Je dis perdre, à la vérité, ne nous réservant rien qui nous fût propre, ni qui fût ou sien, ou mien. les ESSAIS DE MONTAIGNE.

PHRASE 3

 « Dépêchez-vous de vivre, dépêchez-vous d'aimer. Nous croyons toujours avoir le temps, mais ce n'est pas vrai. Un jour nous prenons conscience que nous avons franchi le point de non-retour, ce moment où l'on ne peut plus revenir en arrière. Ce moment où l'on se rend compte qu'on a laissé passer sa chance... »

Ethan, Céline, Jessie.
Un homme, une femme, une enfant.
Trois personnages au bord du gouffre.
Qui vont se croiser, se détruire et s'aimer.

Ont-ils déjà franchi le point de non-retour ?
Il leur reste 24 heures pour tout changer.
Mais l'amour peut-il vaincre la mort ?


Un mystère intense
Un amour en danger
Un dénouement stupéfiant     JE REVIENS TE CHERCHER DE GUILLAUME MUSSO.

PHRASE 4

 L'amitié est-elle une forme d'amour ? Comment naît-elle ? Pourquoi ne s'ennuie-t-on jamais avec un ami ? L'amour et l'amitié peuvent-ils coexister ? Un amour défunt peut-il se transformer en amitié ? Peut-elle entraîner la jalousie ? Quels sont les ennemis de l'amitié ? A-t-elle un avenir dans unmonde dominé par les relations d'intérêt ? L'auteur, qui est sociologue de formation et Professeur en Italie, tente de définir un sentiment dont la nature laisse songeur... L'amitié de Francesco Alberoni.

PHRASE 5

Le ciel m'a confié ton coeur,
Quand tu seras dans la douleur
Viens à moi sans inquiétude,
Je te suivrai dans le chemin

objets inanimés,avez-vous donc une âme
Qui s'attache à mon âme et la force d'aimer!

Puisque vous êtes beau vous êtes bon sans doute.

Jamais d'ailleurs le visage d'un ami n'est laid
Le coeur est assez puissant magicien pour y mettre
l'amabilité,la douceur,le rayonnement,l'intelligence.

"Peu de gens que le ciel chérit et gratifie
Ont le don d'agréer infus avec la vie " La Fontaine


"Il est dans tous les coeurs l'ardent besoin d'aimer,
Cette fleur dieu lui-même en nous la fait germer.
Dès la première enfance avec nous elle pousse
et le plus fort s'enivre à son odeur si douce." l'amitié de Louis Rouzic.

PHRASE 6

 Ils sont arrivés, sans tambour ni trompette, dans ma boîte e-mail, un matin de Juin 2003. L'email est venu de Jenny, qui a offert trois paragraphes sobres sur sa relation avec ces femmes. Elle a expliqué qu'ils ont grandi ensemble à Ames, dans l'Iowa, où les petites filles leur amitié florissante. Bien que tous ont déménagé depuis -. Dans le Minnesota, la Californie, la Caroline du Nord, dans le Maryland, en Pennsylvanie, en Arizona, dans le Massachusetts, dans le Montana "" ils restent un outil puissant, présence aimante dans la vie de chacun Maintenant dans la quarantaine, Jenny a écrit, ils sont liés par une durée de vie de rires partagés, et de plus de quelques souvenirs déchirants. THE GIRLS FROM AMES DE JEFFREY ZASLOW.

PHRASE 7


-- À mon ami, j écris une lettre et de lui, je reçois une lettre. Cela peut vous sembler peu de choses. Cela me suffit. C est un cadeau spirituel qu il est digne de me donner et que je suis digne de recevoir, et qui ne profane aucun de nous. Dans ces lignes chaleureuses, le c ur se fiera à lui-même comme il ne peut se fier à la langue et déversera la prophétie d une existence plus divine que toutes les annales de l héroïsme n en ont encore vu s accomplir. --DE ralph Waldo emerson.

PHRASE 8

 Ceux-là méritent notre amitié qui ont en eux-mêmes les moyens de se faire aimer. De tels hommes sont rares, comme toutes les choses excellentes, et il n’est rien de plus difficile que de trouver un objet qui, dans son genre, soit parfait de tout point. »

« Voilà ce que j’avais à vous dire de l’amitié. Je vous exhorte à la mettre au-dessus de tous les liens après la vertu, qui doit avoir le premier rang, et qui est la base de l’amitié même. » Cicéron dialogue sur l'Amitié.

PHRASE 9

 Le pré est vénéneux mais joli en automne
Les vaches y paissant
Lentement s'empoisonnent
Le colchique couleur de cerne et de lilas
Y fleurit tes yeux sont comme cette fleur-là
Violâtres comme leur cerne et comme cet automne
Et ma vie pour tes yeux lentement s'empoisonne

Les enfants de l'école viennent avec fracas
Vêtus de hoquetons et jouant de l'harmonica
Ils cueillent les colchiques qui sont comme des mères
Filles de leurs filles et sont couleur de tes paupières
Qui battent comme les fleurs battent au vent dément

Le gardien du troupeau chante tout doucement
Tandis que lentes et meuglant les vaches abandonnent
Pour toujours ce grand pré mal fleuri par l'automne
de guillaume appollinaire.

 PHRASE 10

 

« Parti à vingt-sept ans pour marcher sur la terre, j’ai bien connu l’usure de tous les continents. Je les ai confondus dans l’unité de mon voyage sans cesse recommencé.

Finalement le hasard m’a cueilli mort entre deux pas. Ressurgi des savanes et des brumes de mer, je suis rentré sur un bateau transportant à la fois des produits coloniaux et quelques passagers. Mon vieux sac à fond de cuir était là lui aussi.

J’ai quité tout ce qui avait fait l’armature de mes jours durant quelques années, les départs, les chemins, les découvertes sans cesse. Mon corps était lassé.

À cette seconde-là, j’ai abandonné l’habitude de suivre l’aventure, ses enchevêtrements...Là-bas, très loin, sous les soleils voilés de chaleur. Et je suis revenu à la maison d’enfance qui fut toujours ma racine la plus tendre.

Les grandes étendues de la terre, je les voyais désertes. Je me retrouve ici où l’essence de toute chose, c’est d’abord qu’elle m’est familière. Ayant quitté les pays étrangers, je suis revenu à ce qui, pour moi, existait avant tout. Mon délai étant expiré, c’est dans l’haleine de ce ventre maternel que je reconnaissais ma première respiration. La maison d’enfance, c’est celle où tu reviens si tu perds la vue. Les marches du seuil, les pavés creux peuvent guider tes pas. La poignée des portes, en losange de fer, est taillée pour ta paume. Sous les poiriers, au lieu que j’avais désigné, je resterai longtemps. Avec le ciel de la nuit, bleu très sombre, des nuages passant légers. J’ai mon intense conscience de la brume autour du ruisseau et des feuilles d’où sortent les cris des hulottes en automne. Le vent couche l’herbe noire, il passe par-dessus tous nos choux à vaches, craquants et trempés, des champs entiers. À ma gauche, se tasse la maison, froide, vaste, fermée. Je suis de retour dans cette région humide qui m’a toujours aimé. Je dormirai beaucoup et je serai sensible, je serai la nuit même. Voilà trois jours que la terre s’est refermée. Contre elle, j’ai toujours voulu poser ma joue confiante. La terre dont je ne m’étais jamais entièrement dégagé bien que marchant debout dans une certaine lumière. Et trois jours ! Que sont trois jours quand j’espère des siècles ! DE JEAN LOUP TRASSARD L'AMITIE DES ABEILLES;

VOILA JE RECTIFIE MON ARTICLE;

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Commentaires
F
Désolée pas assez temps pour tout lire<br /> <br /> Je te souhaite un bon dimanche<br /> <br /> Bisous Marie Antoinette
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E
coucou Toinon.<br /> <br /> L'amitié est belle quand elle est sincère et partager.<br /> <br /> <br /> <br /> passe un bon we dommage sous la pluie.<br /> <br /> bisous cendrine
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A
et oui chez moi aussi il pleut et je vais aller bosser hélàs!! bisous
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L
bon aprem MA !!<br /> <br /> ici pluie--- c'est l'automne !!<br /> <br /> bisous !
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J
je te souhaite un très bon samedi,belle journée à toi,bises
Répondre
leblogdetoinon13
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